Il est aussi connu sous le nom de Révérend Père Louis Nicolas 1. Il est aussi connu sous le nom de Frère Nicolas 2.
Il naît le 24 août 1634 à Aubenas, Ardèche, France 3, 4. Il décède en juillet 1682 5.
Révérend Père Louis Nicolas entre dans la Compagne de Jésus le 16 septembre 1654 à Toulouse, France 3, 5. Révérend Père Louis Nicolas est professeur de grammaire de 1656 à 1660 à Saint-Flour, France 3. Révérend Père Louis Nicolas est professeur de grammaire de 1660 à 1661 à Puy-en-Velay, France 3. Révérend Père Louis Nicolas étudie le cours de philosophie de 1661 à 1663 à Tournon, France 3. Révérend Père Louis Nicolas immigre à Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada le 25 mai 1664 5. Révérend Père Louis Nicolas est jésuite en 1666 à Sillery, Québec, Québec 1. Pierre Lefay, Jacques Dubois, Pierre Portret, Louis Salin, Louis Pallardy, Jean de Lalande, Gabriel Le Mire, frère Jean Feuille, Révérend Père Louis Nicolas et Révérend Père Henry le Nouvel résident au collège de Jésuites, Sillery en 1666 1. Révérend Père Louis Nicolas, Frère Pierre Macon, Frère Joseph Boursier et Frère Florent Bonnemer résident à Québec en 1667 2. Père Claude Alloues et Révérend Père Louis Nicolas sont missionnaires pour les Outaouais le 8 septembre 1667 5.
Frère Thierry Beschefer et Révérend Père Louis Nicolas sont missionnaires chez les Agniers en 1670 5.
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- Note de bedard_natalie at yahoo dot ca du 2016-11-02 16:06:36 (Cliquez pour voir le texte)
Il s'agit fort probablement du P. LOUIS NICOLAS.
--> DOUBLON # 67738 = # 61475
Né à Aubenas (Ardèche), le 24 août 1634, le P. Nicolas entra dans la Compagnie de Jésus, à Toulouse, le 16 sept. 1654. Après le noviciat, il professe à Saint-Flour quatre ans, et au Puy en Velay un an, les classes de grammaire (1656-1661). Il suit do 1661 à 1663 le cours de philosophie à Tournon, et part en 1664 pour le Canada.
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p, 359-360 : Les Jésuites et la Nouvelle-France au XVIIe siècle : d'après beaucoup de documents inédits
scans.library.utoronto.ca
«D'un talent médiocre, d'une intelligence peu cultivée, le P. Nicolas n'avait pas été élevé sur les genoux d'une duchesse. Il joigiuiit à la rudesse native du montagnard une brusquerie d'allures assez vive, qui ne le lit pas goûter des gentlemen français. En revanche, il ne reculait jamais devant la besogne, fut-elle pénible; sa robuste constitution .pouvait se faire à tout; si son zèle n'était pas toujours ni réglé ni éclairé, du moins il n'en manquait pas. On crut qu'il conviendrait au P. Allouez dans cette mission du Saint-Esprit, « où l'on vivait d'écorces d'arbres une partie de l'année, une autre partie d'arrestes de poisson broyées, et le reste du temps de poisson ou de bled d'Inde ^ » En outre, dans ce pays, il fallait compter sur soi pour vivre, et non sur la générosité des sauvages. Le missionnaire devait construire sa cabane de ses propres mains, aller chercher sa nourriture dans les rivières et dans les bois, ou se la procurer par des échanges, quand il pouvait obtenir des trafiquants français quelques menus objets chers aux Indiens. Le P. Nicolas était apte à tout cela.»
1. Internet - Recensement de 1666 en Nouvelle-France, référant au tome IV, chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@fmed.ulaval.ca) le 17 mars 1998.
2. Internet - Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca) le 17 mars 1998.
3. Note de Natalie Bédard - 2 novembre 2016 (#13017embre 2016 (#13017)
Il s'agit fort probablement du P. LOUIS NICOLAS.
--> DOUBLON # 67738 = # 61475
Né à Aubenas (Ardèche), le 24 août 1634, le P. Nicolas entra dans la Compagnie de Jésus, à Toulouse, le 16 sept. 1654. Après le noviciat, il professe à Saint-Flour quatre ans, et au Puy en Velay un an, les classes de grammaire (1656-1661). Il suit do 1661 à 1663 le cours de philosophie à Tournon, et part en 1664 pour le Canada.
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p, 359-360 : Les Jésuites et la Nouvelle-France au XVIIe siècle : d'après beaucoup de documents inédits
scans.library.utoronto.ca
«D'un talent médiocre, d'une intelligence peu cultivée, le P. Nicolas n'avait pas été élevé sur les genoux d'une duchesse. Il joigiuiit à la rudesse native du montagnard une brusquerie d'allures assez vive, qui ne le lit pas goûter des gentlemen français. En revanche, il ne reculait jamais devant la besogne, fut-elle pénible; sa robuste constitution .pouvait se faire à tout; si son zèle n'était pas toujours ni réglé ni éclairé, du moins il n'en manquait pas. On crut qu'il conviendrait au P. Allouez dans cette mission du Saint-Esprit, « où l'on vivait d'écorces d'arbres une partie de l'année, une autre partie d'arrestes de poisson broyées, et le reste du temps de poisson ou de bled d'Inde ^ » En outre, dans ce pays, il fallait compter sur soi pour vivre, et non sur la générosité des sauvages. Le missionnaire devait construire sa cabane de ses propres mains, aller chercher sa nourriture dans les rivières et dans les bois, ou se la procurer par des échanges, quand il pouvait obtenir des trafiquants français quelques menus objets chers aux Indiens. Le P. Nicolas était apte à tout cela.»
4. Clergé Canadien - p. 52 (Toulouse)
5. Clergé Canadien - p. 52
La dernière mise à jour de cette personne a été faite le 2016-11-02
